Ni violente ni soumise

Ni violente ni soumise

On ne peut vraiment bien parler de la boulimie que lorsqu’on en est sorti, parce que l’on ose enfin en parler sans honte mais aussi parce qu’on se rend mieux compte après coup des difficultés mentales dans lesquelles on était enfermé. Dans cette rubrique, elles parlent de leur changement par rapport à la nourriture, par rapport à elles-mêmes et par rapport aux autres. Et cerise sur le gâteau, même la vie sexuelle parfois se réveille.

Liane:
Ma mère ne m’énerve plus.
Aude:
Je n’attends plus de l’autre qu’il me fasse du bien.
Miou:
Depuis que j’ai coupé le cordon je peux faire des calins à ma mère.
Michelle:
J’en voulais à ma mère de ne pas me comprendre.
Camille:
2006 Tout ce que je faisais était en fonction des autres .
Camille:
2009 Oui mais je ne me connaissais pas.
Mylène:
J’étais très violente.
Kaindá:
Mon mari dit que j’ai fait peau neuve.
Lana:
Quand on me contrarie je ne me démonte plus comme avant.
Lio:
J’ai un rapport beaucoup plus sain avec mon entourage.
Millie:
Je jouais jamais franc jeu.
Liane:
Je n’ai plus peur des autres.
Dominique:
Malgré mon mari et mes enfant que j’aime ça se serait mal terminé.
Sylvie:
Mes changements profitent à ma vie amoureuse.

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Jean-Pierre Bernadaux, webmestre.

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