Vaincre la boulimie hyperphagie par un travail de mentalisation
C'est pourquoi, si l'on veut arrêter de souffrir, il ne suffit pas en analyse ou en psychothérapie de pleurer ou de se plaindre : il faut avoir le courage de prendre ses croyances à bras le corps, dût-on, pour ce faire, traverser d'énormes tempêtes émotionnelles. Voilà ce que tentent de démontrer, chacun sous un angle différent, les quatres articles ci-dessous.Grâce à la psychanalyse nous savons que nos convictions s'appuient sur nos pulsions et que nous avons intérêt à croire ce que nous croyons, même si ça nous fait souffrir, même si ça nous rend malade: "je suis dans la merde, mais au moins, je sais où je suis", m'avait dit un jour avec humour une jeune femme qui ne voulait avancer qu'à reculons.